LES VACCINS

Bonjour à vous,

 

 

Je vous l’avais annoncé, je vous parle dans cette lettre des vaccins.

Dans la précédente lettre (n°10), je vous ai montré que, bien avant que les vaccins pour la COVID existent, nos gouvernants ainsi que tous ceux des pays occidentaux avaient en ligne de mire la vaccination généralisée de toute la population comme seul et unique remède. Je ne reviendrai pas sur tous les mensonges et malversations (je sais, cela peut paraître gros !) qu’ils ont mis en place pour nous convaincre que c’était la seule voie et qu’elle ne présentait aucun danger.

Maintenant que nous sommes au pied du mur et que l’on veut même vacciner nos enfants et nos adolescents, je souhaite vous donner quelques éclairages pour vous permettre, si vous l’estimez nécessaire, de donner votre consentement libre et éclairé.

 

 

QUELQUES GÉNÉRALITÉS SUR LES VACCINS

 

Les vaccins déchaînent les passions. Deux sortes de protagonistes s’opposent :

        - les provax qui ne jurent que par les vaccins. Ces derniers ont fait faire des immenses progrès à la médecine. Les provax attribuent aux seuls vaccins l’éradication des grandes maladies contagieuses comme la variole, la polio, la tuberculose…Il n’est pas question de remettre cela en question, « la vaccination ça ne se discute pas » (Marisol Touraine).

      - les antivax qui émettent des doutes sur Pasteur et le mythe vaccinal. Ils mettent en doute l’efficacité de certains vaccins et se montrent très soupçonneux vis-à-vis des effets secondaires. Leurs arguments ne manquent pas de pertinence, je vous en parlerai une autre fois. Les antivax sont relégués dans le camp des arriérés, irresponsables et égoïstes …

 

La querelle n’est pas prête de s’éteindre car entre les incantations des uns et les négations des autres, rien ne peut être prouvé :

La validation de l’efficacité des vaccins et le suivi de leurs effets secondaires ne sont pas faits selon les règles de l’art. Les méthodologies rigoureuses de la science moderne ne sont pas appliquées pour les vaccins.

      - pas (ou très peu) d’essais en double aveugle

      - pas de pharmacovigilance active (on va chercher les effets), seule une pharmacovigilance passive (on attend que les effets remontent) est instaurée, les signalements récoltés ne représentent qu’une infime partie de la réalité (entre 1 % et 10 %).

      - aucun suivi à long terme. On ne veut pas savoir.

      - réalisation ou financement des essais par les laboratoires (rappelons que ces derniers ont été condamnés aux États Unis 944 fois en 20 ans pour un total de 56 milliards de dollars pour dissimulation, tromperies, commissions occultes et autres malversations) (Réf 1).

      - pharmacovigilance organisée par les agences de l’état qui en imposant la vaccination est partie prenante.

      - LA VACCINATION REPRÉSENTE LA SEULE VOIE DE CROISSANCE DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE QUI NE TROUVE PRATIQUEMENT PLUS DE MÉDICAMENTS BREVETABLES DEPUIS PLUS DE 30 ANS.

 

Voir absolument le témoignage de Michel de LORGERIL, médecin scientifique au CNRS (Réf 15). C’est court (2 mn) et ça résume bien la problématique du manque de science dans la validation des vaccins.

 

En France le gouvernement d’Emmanuel Macron a pris la décision d’injecter 11 vaccins dans les premiers mois de la vie de nos enfants. Pourquoi n’a-t-on pas évalué cette mesure sur un échantillon de volontaires sur le long terme par une expérience en double aveugle ?

Aux États Unis, pays le plus vacciné au monde, il y a 60 % de maladies chroniques et les cas d’autisme augmentent de façon vertigineuse (1 enfant sur 43 en 2020 contre 1 enfant sur 5 000 dans les années 70). Les vaccins portent-ils une part de responsabilité dans ce phénomène ? Aucune autorité de santé ne cherche à savoir.

 

Les vaccins sont-ils inoffensifs comme le laissent entendre les provax ?

Non évidemment, ils provoquent des effets secondaires court terme que l’on mesure très mal avec notre système de pharmacovigilance et des effets secondaires à long terme que l’on ne cherche pas à mesurer.

Un exemple d’ « innocuité » : Le professeur Raoult raconte (je n’ai pas eu le temps de retrouver la référence) : « Lors de la guerre d’Irak, un bruit fou avait couru attribuant à Saddam HUSSEIN l’intention de répandre le virus de la variole, L’armée américaine prévoyante, vaccine tous les militaires. Bilan : 50 morts. Pour rien » L’histoire ne parle pas des effets secondaires non létaux.

Le vaccin de la variole est-il un mauvais vaccin ? Certainement pas en période d’épidémie. Tout est question de rapport bénéfice/risque. En l’absence de traitement, il vaut mieux perdre 50 personnes si on peut en sauver 1 000. Le vaccin est-il inoffensif ? Certainement pas.

 

 

QU’EN EST-IL DES « VACCINS » COVID ?

 

 

Tous les vaccins COVID utilisés en France ne sont pas des vaccins comme les autres.

Jusqu’à présent les vaccins contenaient des virus désactivés qui une fois injectés dans l’organisme, provoquaient une génération de cellules spécialisées (anticorps) capables de reconnaître et tuer les virus en cas d’infection.

Les vaccins COVID qui nous sont proposés, fonctionnent sur un autre principe, totalement novateur : ces vaccins contiennent des protéines spéciales appelées ARN messager (ARNm) qui vont pénétrer dans nos cellules pour leur faire produire des morceaux de virus (les protéines Spike qui entourent les virus). Ce sont donc nos cellules qui, grâce au message qu’elles reçoivent des ARNm, vont produire non pas des virus désactivés, mais des morceaux de virus (protéine Spike) qui provoqueront la génération d’anticorps par nos organismes.

Ce qui différencie les vaccins (Moderna, Pfizzer…) les uns des autres ce sont les « capsules » qui enserrent et protègent les ARNm.

Le procédé est génial, c’est une prouesse scientifique qu’il convient de saluer. Par contre,

 

      c’est la première fois que l’on utilise ce procédé à grande échelle.

 

Faut-il appeler ces traitements vaccins ? Sans polémiquer sur le langage, je constate qu’en les appelant ainsi, on les pare des propriétés des vaccins que nous connaissons bien. En particulier de leur innocuité (qui n’est peut-être pas aussi réelle que cela).

 

Ces vaccins ont été développés en 8 mois, du jamais vu ! On n’a pas attendu la fin de la phase de validation qui devait se terminer en 2023 pour vacciner des milliards de personnes.

 

 

      Les vaccins COVID sont-ils efficaces ?

 

Oui, mais nous manquons de données objectives pour préciser le taux d’efficacité.

Les premiers essais de validation des vaccins et les premières études suite aux campagnes de vaccination massive en Israël et au Royaume Unis annoncent une efficacité supérieure à 90 %.

Ces résultats doivent être pris avec beaucoup de circonspection car les essais ont été supervisés, voire réalisés par les laboratoires.

En réalité, ces bons chiffres ne résistent pas à une analyse critique des articles incriminés et aux premiers retours d’expérience constatés à l’IHU de Marseille qui dispose à ce jour d’un panel de 350 personnes vaccinées et positives au COVID. La réalité semble beaucoup plus près de 50 % que de 90 % (Réf 2). Cela veut dire que si on compare une population vaccinée avec une population non vaccinée, le nombre de patients positifs est 2 fois moins important dans le groupe des vaccinés.

 

D’autre part, il semble qu’ils ne sont pas très efficaces pour les personnes âgées : il faudra sans doute les vacciner une 3ème fois, on annonce même la possibilité d’une 4ème injection.

 

 

      Ces vaccins ont-ils des effets secondaires ?

 

OUI, BEAUCOUP PLUS QUE LES AUTRES VACCINS

 

   Effets secondaires létaux (Mortalité suite à la vaccination):

 

En premier lieu ces vaccins déciment les plus fragiles : une première alerte est lancée en janvier par l’agence norvégienne du médicament qui déclare 33 morts suite à l’injection du vaccin Pfizer. Ces décès n’ont pas été retenus car les personnes décédées étaient âgées et fragiles ! Ce qui a fait dire au docteur Steinar Madsen directeur médical de l’agence norvégienne : « si vous êtes très frêle, vous ne devriez probablement pas être vacciné » (Ref 3).

Par la suite on s’est aperçu que les vaccinations massives dans presque tous les pays ont été suivies par une flambée des contaminations et de mortalité pendant les semaines qui ont suivi la vaccination (Angleterre, Israël, Émirat Arabes Unis…). Une courte vidéo (Ref 4) illustre ce phénomène.

Au Chili malgré une campagne massive de vaccination (43,4 % de la population) la contamination et les décès restent le double de ce qu’ils étaient avant la campagne de vaccination. Le cas des Seychelles, pays le plus vacciné au monde, est emblématique. La vaccination se traduit par une multiplication par 12 du nombre de contamination et par 7 du nombre de décès.

Le point du général DELAWARDE (Réf 5) sur la vaccination dans le monde, duquel j’ai tiré les quelques exemples ci-dessus, dit ceci au sujet du nombre de morts suite à la vaccination :

« Ces nombres sont loin d’être négligeables. Ce qui frappe c’est que les facteurs de comorbidité (âge, surpoids, diabète…) ne sont jamais évoqués lorsqu’on décède « avec » le COVID. On est donc déclaré mort « du » COVID. Mais pour les décès post-vaccinaux, on ne meurt jamais « du » vaccin, mais toujours d’une coïncidence fâcheuse ou d’un autre facteur de comorbidité. Comme c’est étrange... ».

Tout se passe comme si le vaccin provoquait chez un certain nombre de personnes la maladie elle-même. Ce phénomène a été constaté à l’IHU de Marseille.

« On a 46 patients qui ont fait un COVID dans la semaine qui a suivi la première injection et c’est significatif ! La chance d’attraper un COVID dans la semaine est moins importante que si on vaccine ». (Réf 6)

Cela pourrait expliquer qu’au Cambodge et en Mongolie, 2 pays épargnés par la pandémie (0 morts pendant 14 mois), on ait vu le nombre de décès COVID augmenter en flèche après les premières vaccinations.

Au sujet de la mortalité déclarée suite à la vaccination voici ce que rapporte le VAERS ( Vaccine Adverse Event Reporting System), système de pharmacovigilance américain :

    Effets secondaires non létaux :

 

Nous ne retiendrons que les effets secondaires graves tous vaccins confondus. Selon le système de pharmacovigilance, ils varient de 0,02 % des personnes vaccinées pour les 65-74 ans à 0,168 % pour les moins de 50 ans. Les jeunes ont ici 8 fois plus d’effets secondaires graves. Les experts estiment qu’ils faudrait les multiplier par 10 voir par 100 pour obtenir la réalité.

Il est maintenant prouvé que la protéine Spike ( morceau de virus) que les vaccins font produire par nos cellules est elle même pathogène à la différence des autres vaccins qui n’injectent que des virus morts ou inactivés (Réf 14). Chez certains individus cette protéine ne reste pas localisée au point d’injection mais se répand entre autres dans le sang causant des thromboses.

 

 

    Effets secondaires à moyen et long terme :

Personne ne sait.

On dirait que les personnes en charge des vaccins ne souhaitent pas les mesurer. Les groupes de personnes témoins qui ont reçu le placebo lors des essais de validation des vaccins ont tous été vaccinés.

On aurait pu espérer que pour ce type de vaccin totalement nouveau et si peu testé on suive avec attention les effets à moyen et long terme mais a priori, on ne veut pas savoir !

À signaler que l’on nous a menti sur l’intégration de l’ARN dans l’ADN. L’ARN peut intégrer l’ADN et modifier le génome. (Réf 7)

Cela veut dire que si par malchance vous contractez un effet secondaire grave durablement, vous pouvez le transmettre à votre descendance.

 

Est-il conseillé de se faire vacciner contre la COVID ?

 

Si on suppose qu’il n’y aura aucun effet secondaire à moyen et long terme. On peut se baser sur les chiffres de la mortalité et de la pharmacovigilance officielle qui recensent les effets à court terme.

Je propose un tableau qui permet d’évaluer le bénéfice et le risque de la vaccination pour les bien-portants suivant la tranche d’âge à laquelle ils appartiennent. Pour réaliser ce tableau, je me suis inspiré d’un article de « bon sens » qui fait la synthèse des données officielles actuelles (Réf 8).

Le tableau se lit ainsi :

Pour la tranche d’âge 20-29 ans, sur les 14 derniers mois avec les 3 « vagues », il y a eu 1 mort pour 298 000 personnes en bonne santé (sans aucune comorbidité). Si on vaccine ces 298 000 personnes, nous aurons, en prenant les chiffres officiels, 500 effets secondaires graves, chiffre à multiplier par 10 au minimum pour avoir la réalité soit 5 000, sans être sûrs que le mort sera sauvé (le vaccin n’est pas efficace à 100%).

 

 

Échantillon de pers en bonne santé

Nb de décès dans l’échantillon sur 14 mois

Nb effets second graves si on vaccine l’échantillon

nb d’effets secondaires graves réels (x10)

0-9 ans

5 800 000

1

pas vaccinés

pas vaccinés

10-19 ans

2 800 000

1

4 704

47 040

20-29 ans

298 000

1

500

5 000

30-39 ans

106 000

1

178

1 780

40-49 ans

34 000

1

57

570

50-59 ans

9 600

1

6,7

67

60-69 ans

2 800

1

1,3

13

70-79 ans

960

1

0,2

2

80-89 ans

313

1

0,1

1

 

 

 

Clairement, quand on est en bonne santé, en dessous de 50 ans, on peut se demander si on a un avantage réel à se faire vacciner.

Au-dessus de 50 ans, si on ne fait pas de prévention active et si on ne s’est pas mis d’accord avec son médecin traitant pour qu’il nous soigne correctement en cas de maladie, il vaudrait peut-être mieux se faire vacciner.

Dans tous les cas, si on a peur, choisir de se faire vacciner est une bonne option si cela permet de réduire notre niveau de stress et d’avoir une meilleure vie.

D’autre part, il faut penser aux effets à moyen et à long terme qui, s’ils interviennent, (personne ne sait) peuvent avoir des conséquences délétères pour le restant de la vie avec une possibilité de les transmettre à sa descendance. Raison supplémentaire de ne pas vacciner les plus jeunes.

 

      Doit-on se vacciner pour protéger ses parents ou grands-parents ?

 

Le vaccin n’empêche pas d’être contaminant. Un grand nombre (40% ?) de personnes vaccinées reste contagieux. Il vaut mieux que les enfants en bonne santé qui n’ont aucune malchance de décéder de la COVID et qui sont rarement contaminants, se tiennent à distance de papa ou grand-père qui ont quelques chances d’être protégés par la vaccination et par leur masque FFP2 sans prendre le risque de contracter des effets secondaires qui pourraient les handicaper à vie.

De plus, contrairement à ce on nous a assené, les porteurs asymptomatiques ne seraient pas contaminants ! (expérience à Wu’an portant sur 10 000 000 de patients positifs et révélation de FAUCI (responsable de la politique santé USA) dans un Mail à DELFRAISSI au tout début de la crise il écrit : « les porteurs asymptomatiques ne sont pas contaminants à de très rares exceptions près ». Il a raconté l'inverse après et imposé des masques et des confinements à tous ! Pourquoi ?

 

      Doit-on se faire vacciner si on a contracté la maladie ?

 

Comme pour toute maladie contagieuse, avoir contracté la COVID protège bien mieux que le vaccin (Réf 9) (Réf 10). Le futur pass sanitaire prend cela en compte. Quand on a contracté la rougeole on est protégé toute la vie et la maman protège son bébé pendant les premiers mois.

Mais le « culte » du vaccin est tel que nos autorités de santé recommandent en pareil cas la vaccination avec une seule injection. Pourquoi prendre des risques d’effets secondaires quand on est déjà immunisé ?

 

      Doit-on se faire vacciner pour atteindre l’immunité collective ?

 

Je ne comprends pas comment certains scientifiques peuvent encore défendre ce concept en sachant que :

      - on va faire prendre des risques d’effets secondaires graves sans aucun gain pour eux à nos jeunes en bonne santé avec le risque de transmettre ces effets à leur descendance ;

      - une grande proportion de vaccinés est toujours contagieuse ;

      - l’émergence de nouveaux variants (le Corona virus mute beaucoup !) rend la vaccination rapidement obsolète ;

     - il existe d’énormes réservoirs de Corona virus dans le monde animal, transmissibles à l’homme (Chauve-souris, élevage de visons...).

Jean François DELFRAISSI, patron du conseil scientifique, dit dans une lettre au Lancet :

"La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent réduisant l'efficacité de la vaccination à court et moyen terme…"

Récemment les médias ont proclamé sur tous les canaux d’information :

« L’académie de médecine se prononce pour rendre la vaccination obligatoire »

Voici ce que dit Alain Fisher (Monsieur vaccin) :

« Je ne suis pas d’accord avec mes collègues de l’académie sur l’obligation vaccinale. Je fais partie de l’académie mais on ne m’a pas demandé mon avis. C’est un petit groupe de l’académie qui a donné cet avis… aujourd’hui ce n’est vraiment pas la priorité » (Réf 11)

 

Plutôt que de vacciner tout le monde, vaccinons et protégeons les plus vulnérables et laissons vivre les personnes jeunes et les enfants en bonne santé. Ils ne risquent pas grand-chose s’ils contractent la maladie (surtout si on les soigne précocement au cas où ils développeraient des symptômes). L’immunité qu’ils auront acquise sera bien supérieure à celle qu’ils auraient pu atteindre par le vaccin.

 

 

      Témoignage de Steve KIRSCH

 

Je souhaite vous partager le témoignage de Steve KIRSCH, ingénieur 2 fois diplômé du MIT et créateur d’une entreprise informatique qui a réussi. Sa façon d’être utile dans cette crise a été de financer des entreprises pour recycler des anciens médicaments pour soigner la COVID. Il a vite compris que Big Pharma ne financerait pas ce genre d’étude et que les états n’étaient pas favorables à ce genre d’approche (voir ce qui s’est passé en France pour l’HCL et pour le recyclage du Chlofocol par l’institut Pasteur de Lille).

C’est vraiment une personne très engagée dans la lutte contre la COVID (Réf 12). Voici quelques extraits de ce qu’il dit dans un très long article (Réf 13) au sujet des vaccins :

« Je me fais toujours vacciner. J’ai été complètement vacciné avec le vaccin Moderna COVID. Mes 3 filles ont toutes été vaccinées. J’ai récemment appris que ces vaccins ont probablement tué plus de 25 800 américains et handicapé au moins 1 000 000 de plus. Et nous ne sommes qu’à mi-chemin de la ligne d’arrivée…

Sur la base de ce que je sais maintenant, sur les avantages minimes du vaccin (environ 0,3 % du risque absolu), sur les taux actuels de COVID et sur le taux de réussite des traitements précoces, la réponse que je donnerais à toute personne qui me demanderait mon avis sur la décision de se faire vacciner avec les vaccins actuels serait : « dites simplement non ».

Les vaccins actuels sont particulièrement contre-indiqués si vous avez été infectés par la COVID ou si vous avez moins de 20 ans. Pour ces personnes je leur dirais : « NON, NON, NON » …

Le taux de mortalité lié à ce vaccin est hors normes, plus que tous les 70 vaccins utilisés au cours des 30 dernières années…

Environ 2% des personnes signalent des effets secondaires graves / toujours gênants sur la base de l'échantillonnage aléatoire que j'ai effectué. Ce nombre est extrêmement élevé mais il explique totalement pourquoi les groupes « Vaccine Side Effects » de Facebook comptaient plus de 200 000 membres avant que Facebook ne les supprime... »

 

CONCLUSION

 

Les « vaccins » COVID recommandés en France ne sont pas des vaccins comme les autres. S’ils possèdent une certaine efficacité contre les variants actuels, il ne fait aucun doute que le nombre de leurs effets secondaires est hors norme. Il est donc vivement recommandé de prendre de la distance vis-à-vis des pressions et de la propagande vaccinale pour prendre le temps d’analyser le rapport bénéfice/risque vous concernant.

      -Si vous avez plus de 50 ans et que vous, ou votre médecin, ne sont pas familiers des techniques de prévention et des traitements précoces de la COVID, il vaut peut-être mieux vous faire vacciner.

      -En dessous de 50 ans, si vous êtes en bonne santé, la vaccination présente plus de risques que d’avantages. Plus on descend en âge, plus c’est le cas. Un adolescent en bonne santé qui se fait vacciner prend tous les risques sans en tirer aucun bénéfice.

D’autre part si vous avez eu la maladie, vous êtes immunisé, vous ne tirerez aucun bénéfice du vaccin et vous vous exposerez à ses risques qui sont d’autant plus importants que vous avez eu la maladie.

Il semble que maintenant beaucoup se font vacciner pour pouvoir voyager, aller en boîte ou pour être tranquille à la rentrée scolaire, aux États-Unis on distribue même des billets de loto aux heureux détenteurs du « précieux certificat de vaccination » ! (dixit journal de TF1).

                     Il me semble que votre santé mérite mieux.

 

Pour terminer je voudrais vous faire part de quelques bonnes nouvelles :

      -Après l’Argentine, le Mexique et bien d’autres pays, les autorités de santé de l’Inde ont officiellement approuvé l’Ivermectine pour le traitement de la COVID. Cela faisait longtemps que certains états indiens l’avaient adoptée avec succès, elle est maintenant reconnue au niveau fédéral et a servi à juguler la dernière poussée épidémique dont nos journaux nous ont parlé avec tant d’effroi ! Le nombre de mort journalier s’élevait hier à 928. Si on ramène ce chiffre à la population française la mortalité est de 50, à peu près équivalente à la nôtre qui était de 44 le même jour. Rappelons que l’Inde, malgré le sous équipement hospitalier a bien mieux géré la crise que nous : nombre de morts par millions d’habitants : Inde :282 France : 1695. Une association d’avocats indiens a attaqué en justice la représentante de l’OMS pour fausses informations concernant ce médicament.

     -Après avoir constaté que des anciens malades de la COVID étaient encore positifs 6 mois après leur maladie, la Suède a décidé de ne plus utiliser les test PCR pour mesurer la progression de l’épidémie. Que penser en effet d’un test qui donne les résultats suivants :

semaine 18, 2021 : 123 183 personnes détectés positives. Sur ces 123 183 personnes 99 218 personnes n’ont rien eu, on ne les a pas vu chez les médecins, aux urgences ou à l’hôpital. (Hélène Bannoun CSI n°6).

Le créateur du test avait dit qu’il ne fallait jamais utiliser ce test pour diagnostiquer la maladie, je suis heureux de voir qu’il commence à être écouté.

      - Israël, l’Angleterre, les États Unis, la Russie … Ont abandonné le pass sanitaire.

 

Enfin je voudrais terminer par un petit dicton que j’ai récemment entendu :

« Le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier et quand elle arrive en haut, le mensonge s’écroule d’un seul coup ».

Pour la crise que nous subissons, le mensonge est vraiment monté très très haut, c’est donc un peu long de monter l’escalier mais, marche après marche on approche du sommet.

                               CONFIANCE !

 

     

                          Bien à vous,

 

                                                             

                                                                  Christian TORRELL

 

                                                                     Le 25 juin 2021

 

 

Réf 0 : https://www.gite-de-marbois.com/activites/covid-19/lettre-n-10/

Réf 1 : Jean Dominique Michel. Amendes des labos :https://www.youtube.com/watch?v=WUkcsSnVzl0 minute 41.

Réf 2 : Raoult : efficacité des vaccins : https://www.youtube.com/watch?v=0-7R3r5_-EA

Réf 3 : Perronne : décidément ils n’ont toujours rien compris ! Page 61

Réf 4 : accroissement mortalité juste après la vaccination :https://www.youtube.com/watch?v=xSrc_s2Gqfw

Réf 5 : Général DELAWARDE https://baslesmasques.com/o/Content/co513932/situation-du-covid-dans-le-monde-le-point-du-general-delawarde

Réf 6 : 46 cas de Covid après vaccinations :https://odysee.com/@la-chaine-qui-pique:f/Raoult:0

Réf 7 : ARN vers ADN Raoult https://www.youtube.com/watch?v=Ftp4g4Vs4uk

Réf 8 : bénéfice/risque pour les moins de 50 ans : https://bonsens.info/moins-de-50-ans-quels-risques-avec-les-vaccins-covid19-utilises-en-france

Réf 9 : vaccination naturelle : https://medicine.wustl.edu/news/good-news-mild-covid-19-induces-lasting-antibody-protection/

Réf 10 : vaccination naturelle : https://www.sante-corps-esprit.com/cest-une-folie-de-vacciner-ceux-qui-ont-deja-eu-la-covid/

Réf 11 : Alain Fisher :https://twitter.com/boutaour/status/1399089517567610882?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1399089517567610882%7Ctwgr%5E%7Ctwcon

Réf 12 : Interview Steev KIRSCH :https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/steve-kirsch

Réf 13 : Steeve KIRSCH, vaccins : https://trialsitenews.com/should-you-get-vaccinated/

Réf 14 : protéine Spike pathogène : https://www.sante-corps-esprit.com/coup-au-coeur-on-a-fait-une-erreur-avec-les-vaccins/#.YNMpfa3gos4.gmail

Réf 15 : Michel de LORGERIL https://www.youtube.com/watch?v=IUrrn6tnUrA&t=1s

 

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