COVID 19 : UN AN APRÈS

Bonjour à vous,

 

 

Ça y est, j’ai pris la décision de vous écrire. Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas fait. A vrai dire, outre la suractivité (la Mairie, le jardin, les randonnées, les cours de yoga, les nouveaux travaux de restauration de mon habitation...), j’hésitais.

 

J’hésitais, car je me suis rendu compte, au fur et à mesure des discussions que j’ai pu avoir avec certains d’entre vous, que les informations que je souhaitais partager n’étaient pas forcément comprises.

 

J’hésitais parce que devant le déferlement du flot de désinformations véhiculé par nos dirigeants et nos médias, je me trouvais dans la situation de cet homme qui regarde l’inondation envahir sa maison avec pour seule arme, un dé à coudre pour écoper.

 

J’hésitais car c’était plus tranquille pour moi de rien faire mais ma conscience n’était pas d’accord.

 

J’étais aussi trop dans l’indignation, la colère et la peur de l’avenir pour vous écrire sereinement. J’ai donc augmenté mes temps de méditation et j’ai cherché à comprendre. J’ai cherché de l’information sur les réseaux sociaux (on a malheureusement que ce choix-là) et j’ai lu Klaus Schwab (le président-fondateur du forum économique de Davos), Michel de Lorgeril (la médecine des vaccins) et Xavier Bazin (Big pharma démasqué).

 

Je suis maintenant plus calme et j’y vois plus clair. J’ai compris qu’il y avait une doxa officielle contre laquelle nous ne pouvions pas aller. Cette doxa tient en 4 points :

      - Nous sommes confrontés à une pandémie qui tue beaucoup de personnes

      - le virus est dangereux, nous devons tout faire pour l’éviter

      - il n’y a pas de traitements précoces

      - Seule la vaccination généralisée nous sauvera

 

Quiconque émet des doutes, ou propose des analyses contradictoires est ostracisé et harcelé. La presse ne contredit pas nos gouvernants, amplifie leur message et pourchasse les déviants qui sont taxés de complotisme.

 

On aurait pu croire que les réseaux sociaux pouvaient diffuser une information libre mais c’est de moins en moins vrai car le « ministère de la vérité » veille en la personne de Marc Zuckerberg patron de Facebook et autres GAFAM (Youtube, twitter…). La censure est implacable et le harcèlement des opposants à la doxa est terrible.

 

Face à cette doxa qu’en est-il de la réalité ?

 

Affirmation n°1 : Nous sommes confrontés à une pandémie qui tue beaucoup de personnes.

Oui c’est bien une pandémie, le virus est contagieux et s’est propagé sur toute la planète. Ce n’est pas une grippe, les symptômes provoqués par ce virus sont plus délétères.

 

Heureusement, sa létalité (nombre de décès / nombre de cas confirmés) est faible :

   - Si l’on prend les données INSEE, en France, en 2020 il n’y a pas eu de surmortalité pour les moins de 65 ans (80 % de la population) et une surmortalité de 3,6 % pour les plus de 65 ans (Réf 1). La moitié des morts avaient plus de 85 ans. La grande majorité étaient atteints de comorbidités (surpoids, diabète, hypertension…).

   - La surmortalité 2020 n’a pas été plus importante que celle de 2015 (année où la grippe saisonnière a été particulièrement virulente).

 

Pourquoi, malgré cette létalité réelle mais non exceptionnelle, les autorités entretiennent-elles toujours la peur ?

   - en exagérant le nombre de décès COVID : 60 % des décès estampillés « COVID » ne sont pas morts du COVID, sur les soi-disant 100 000 morts de la COVID, il n’y a eu que 40 000 qui sont réellement morts de la COVID !!! (Ref 2)

   - en laissant nos médias diffuser des informations très anxiogènes

   - en affolant les populations avec les tests PCR qui comprennent un grand nombre d’asymptomatiques, de faux positifs (et négatifs !). C’est la première fois qu’on les utilise pour suivre une épidémie. Les créateurs de ce test avaient pourtant dit qu’il ne fallait jamais le faire ! Pourquoi n’a-t-on pas utilisé comme on le faisait jusqu’à présent, les données du réseau SENTINELLE qui recensent les vrais malades (signalés par les médecins) ? Les chiffres donnés par ce réseau sont 10 fois moins importants.

Voir à ce propos l’intervention d’Hélène Banoun au CSI n°2 (Conseil Scientifique Indépendant) (Réf 3).

 

Affirmation N°2 : le virus est dangereux, nous devons tout faire pour l’éviter

 

Cette affirmation ne manque pas de bon sens mais est-il possible d’éviter le virus dans la vraie vie ?

On a tenté de le faire par le confinement, le port des masques, les mesures barrières et la distanciation sociale. Force est de constater qu’ils ne nous ont pas permis d’éviter l’épidémie ni de l’empêcher de se propager quand elle devait se propager. Vouloir empêcher une épidémie de se propager, c’est comme « vouloir arrêter la mer avec ses bras » (Réf 4)

Ces mesures ont-elles permis de limiter les dégâts ?

Nous avons chacun une opinion mais une opinion n’est pas un résultat d’étude !

 

On trouve même sur les plateaux télé des personnes pour dire que ces mesures ont arrêté la grippe !! Si c’est vraiment le cas, on se demande bien comment le virus de la grippe a pu être stoppé et pas celui de la COVID.

 

En mai 2020, il est paru une étude fortement relayée par la presse disant que le confinement avait permis d’économiser 62 000 vies. Cette étude n’a pas été publiée, n’a pas été validée par des pairs et a été démontée par Vincent PAVAN au cours du CSI n°7 (Ref 5).

 

Mise à part cette étude, je n’ai pas vu d’études scientifiques qui prouvent que ces mesures marchent. Par contre j’en ai vu beaucoup qui démontrent leur peu d'efficacité et voir même leur nocivité ! Je les ai mentionnées dans ma lettre n°4 (Réf 0). À ces dernières, j’ajouterai l’étude récente de John Ioannidis de l’université de Standford (le « pape » de l’épidémiologie) qui va dans le même sens.

 

Par contre nous sommes sûr que leur coût humain, économique, social et psychologique est considérable.

 

À trop vouloir se focaliser sur la façon d’éviter le contact avec le virus, nous avons oublié l’essentiel :

Nous sommes partis en guerre avec une seule stratégie : éviter le contact avec l’agent infectieux. Aucune action pour fourbir nos armes pour le cas où nous le rencontrerions.

                  Notre système immunitaire a été le grand oublié.

 

C’est pourtant notre meilleur rempart contre toutes les infections. Plus de 90% des infectés s’en sortent très bien grâce à leur système immunitaire. Rien n’a été fait pour le renforcer, cela aurait été décisif pour les plus fragiles.

Au contraire nous avons été maintenus dans la peur, assignés à résidence, empêchés de pratiquer nos activités sportives. Exactement le contraire de ce qu’il faut faire pour renforcer son immunité.

Malgré l’abondance d’études et les recommandations de l’académie de médecine, aucun protocole de supplémentation (vitamine D, zinc…) n’a été promotionné pour les plus vulnérables.

 

 

 

Affirmation N°3 : Il n’y a pas de traitements précoces

 

Cette affirmation est mensongère, je vous en ai parlé maintes fois dans mes précédentes lettres, les traitements précoces existent. Ils ont une efficacité bien plus grande et une toxicité bien moindre que le paracétamol, seul médicament préconisé en phase précoce.

 

Tous les médecins qui les ont utilisés ont très rarement envoyé leurs malades à l’hôpital. Les pays ou les états qui les ont promus ont vu l’épidémie régresser drastiquement et leur mortalité divisée par un facteur 5. À titre d’exemple on peut regarder le témoignage du docteur Hector CARVALLO en Argentine (Ref 6).

J’en ai longuement parlé dans ma lettre n° 6. Je n’y reviendrai pas.4

 

Il y a manifestement un barrage de nos autorités qui s’appuient sur le témoignage étonnant de certains scientifiques, pour ne pas soutenir et encourager nos médecins de terrain à soigner les gens de façon précoce.

Beaucoup de malades sont arrivés à l’hôpital trop tard. Cela a généré beaucoup de morts. C’est la face sombre de notre système de santé. Le problème n’est plus scientifique mais politique.

Si vous voulez comprendre cela, vous pouvez lire ce que dit le docteur Pierre KORY, médecin anesthésiste américain dans un document exceptionnel (Ref 7)

 

 

 

Affirmation N° 4 : la vaccination généralisée nous sauvera

 

Déjà notre président nous le disait en juin 2020 : « il faut attendre le vaccin »!

 

Autant il a été impossible d’obtenir des recommandations temporaires d’utilisation pour des médicaments sans danger ayant une efficacité certaine en phase précoce, autant il a été facile pour les laboratoires d’obtenir des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour des vaccins dont les essais doivent se terminer en 2023 !

 

Je n’insisterai pas sur la décision folle mais coordonnée des pays occidentaux de vacciner des milliards de personnes avec des vaccins si peu testés et conçus avec une technologie totalement nouvelle.

Je ferai un point plus détaillé sur les vaccins dans ma prochaine lettre. Dans celle-ci je me limiterai à quelques généralités :

 

   - Les tests des vaccins sont réalisés ou sponsorisés par les laboratoires qui développent et vendent ces mêmes vaccins.

 

   - Au cours des 20 dernières années ces laboratoires ont été condamnés aux États Unis 944 fois pour tromperie, dissimulation, commissions occultes et autres malversations pour un total de 56 milliards de dollars. Pfizer a été condamné 71 fois pour 4,6 milliards de dollars (Réf 8).

 

   - Ces mêmes laboratoires ont été dégagés de toute responsabilité en cas de problème suite à l’utilisation de leurs vaccins.

 

   - Michel de Lorgeril médecin, chercheur au CNRS, expert en épidémiologie et méthodologie des Sciences médicales rapporte dans son livre « les vaccins à l’ère de le COVID 19 » (Ref 9) avoir analysé les tests de validation de tous les vaccins. Ses conclusions sont accablantes. Alors qu’ils avaient les moyens de le faire, les tests d’évaluation des vaccins n’ont pas été faits dans les règles de l’art (tests randomisés en double aveugle). Seul le test d’évaluation du vaccin Astrazenica en Afrique du Sud les respecte, résultat : le vaccin n’a aucune efficacité, le variant sud-africain a été mis en cause.

« Pourquoi les investigateurs et leurs sponsors ont-ils si mal travaillé et pourquoi les autorités sanitaires, les académiciens refusent-ils (ou sont-ils incapables) de dénoncer ces évidences » se demande-t-il ? (page 365).

 

   - La pharmacovigilance (le suivi des effets secondaires) est vraiment très très en dessous de ce l’on aurait pu espérer pour surveiller des vaccins non testés ! Voir à ce propos l’intervention de Surya Arby lors du CSI n°6 (Réf 10).

     On dirait que les autorités font TOUT pour ne pas détecter les problèmes.

Les groupes témoins (ceux qui avaient reçu le placebo) des essais de validation des vaccins ont tous été vaccinés. On ne connaîtra jamais les effets à moyen et long terme. Qu’attendre d’une pharmacovigilance organisée par les 2 parties prenantes que sont :

               - l’état, responsable de la politique vaccinale, qui vise sa réélection

               - les laboratoires prêts à tout pour vacciner le plus de « clients » possible

 

  - l’information sur les vaccins se résume à une propagande éhontée.

Exemple : Sur France-Inter, le 26 mai :

« Moderna a réalisé des essais sur des adolescents, les vaccins marchent à 100 % !»

Que penser d’une telle fanfaronnade quand on sait que pendant les derniers 14 mois, la COVID 19 a fait 1 mort pour 2 800 000 adolescents en bonne santé ! Et que les premiers chiffres de la pharmacovigilance nous indiquent que :

la vaccination de 2 800 000 adolescents produira 4 704 effets secondaires graves (Chiffre qui selon les experts, représente entre 1 % et 10 % de la réalité). Effet secondaire grave veut dire thrombose, myocardite, paralysies, AVC, perte de l’audition où de la vue...

 

Je n’en dirai pas plus sur les vaccins dans ce courrier. Mais avec ces méthodes si peu scientifiques pour valider l’efficacité des vaccins et suivre leurs effets secondaires en toute transparence, on peut prédire que la polémique entre provax et antivax n’est pas prête de s’éteindre et que le camp des antivax continuera de grossir.

 

Nous avons besoin d’une vraie science avec de vrais essais menés selon les règles de l’art et d’une vrai pharmacovigilance active réalisés tous deux dans la transparence avec des équipes indépendantes des parties prenantes.

 

 

Conclusion

 

Nous vivons dans un monde où nous avons beaucoup de mal à accéder à la réalité. La narration anxiogène, mensongère et propagandiste qui nous en est faite par la presse de grande écoute ne nous aide pas à y voir clair et nous anesthésie.

 

L’état de sidération dans lequel nous nous trouvons et les techniques de manipulations auxquelles nous sommes soumis ont été parfaitement décrits au cours du CSI n° 7 (Réf 11) par le psychiatre Frédéric BADEL spécialiste dans la prise en charge des personnes victimes de chocs post-traumatique. Il nous conseille vivement de fermer le bouton de la télé. J’ai expérimenté, cela va beaucoup mieux.

 

La mortalité pour les moins de 65 ans n’a pas été plus importante que celle des années précédentes. Pourtant cette maladie apparaît tellement dévastatrice que la plupart de nos concitoyens ne peuvent pas croire que l’on ait dépensé tant de milliards pour rien.

 

Pour rien, non...on a surtout rempli les poches de ceux qui nous gouvernent. Je ne parle pas ici de nos hommes politiques mais des puissances de l’argent. Eh oui, dans un monde mondialo-capitaliste, les personnes qui détiennent le capital commandent ! Big data nous impose son flicage, BiG agro nous impose son glyphosate et autres pesticides et Big pharma nous impose ses vaccins, etc.

 

En un an, les 20 hommes les plus riches du monde ont vu leurs richesses augmenter de 60 % ! Cette crise a été l’occasion pour ces puissants de piller un peu plus les états avec le consentement de nos hommes politiques qui leur doivent beaucoup. Les lois antitrust ne fonctionnent plus, les plus riches échappent à l’impôt (fondations et paradis fiscaux) et organisent la corruption du système et des élites à tous les niveaux.

 

 

Cette crise nous a aussi permis de voir que notre médecine est bien malade. Elle est aux mains des laboratoires. Depuis 20 ans ils ne trouvent quasiment plus de nouveaux médicaments et ne rêvent plus que d’une chose : vacciner la terre entière contre le plus de virus possibles (Dieu sait s’ils sont nombreux !).

 

Les états qui ne sont que leur relais ont donc décidé dès le tout début de la pandémie, de tous nous vacciner, y compris ceux qui n’en ont pas besoin.

Pour obtenir notre consentement, il a fallu :

   - faire très très peur

   - instaurer des mesures coercitives et avilissantes (confinement, couvre-feu, autorisations de sortie, amendes, port du masque en plein air et chez les enfants...)

   - nier les traitements précoces et les mesures de prévention

   - faire beaucoup de propagande

   - menacer les récalcitrants d’exclusion (pass sanitaire)

Cette politique a fait beaucoup de morts, de dégâts économiques et psychologiques mais force est de constater qu’elle a été terriblement efficace : 70 % de la population réclament le vaccin. Tout le monde est tellement pressé qu’on en finisse !

 

Je pense que nous méritons mieux. Nous sommes des êtres humains, nous méritons considération et respect. La médecine est un art, nous avons chacun nos particularités et nous devons être soignés par un médecin humain qui nous connaît et sait les prendre en compte. C’est lui qui est le mieux placé pour évaluer le rapport bénéfice/risque de la vaccination pour chacun d’entre nous.

 

On veut nous soigner comme on soigne les volailles dans les élevages industriels. On les parque, on les vaccine toutes et l’éleveur passe chaque jour dans les rangs pour ramasser les cadavres de celles qui n’ont pas résisté.

Pour ma part, je réclame d’être soigné comme les poules de ma voisine :elles sont bien nourries et courent en liberté. Elles savent trouver dans la nature (et quelques fois dans mon jardin !) tout ce qui est bon pour elles. Elles ne sont jamais malades et jamais vaccinés.

 

                                                    Bien à vous,

 

                                               Christian TORRELL

 

                                                     le 31 mai 2021

 

 

RÉFÉRENCES

 

 

Réf 0 : https://www.gite-de-marbois.com/activites/covid-19/lettre-n-4/

Réf 1 : surmortalité : Toubiana : https://www.youtube.com/watch?v=J1F-oVVf8fI

Réf 2: 100 000 morts? Chaillot, CSI n°6 (minute 4) :https://odysee.com/@DiscreetL:6/R%C3%A9union-publique-n%C2%B06-du-Conseil-scientifique-ind%C3%A9pendant-(CSI)-du-20_05_2021:b

Réf 3 : Banoun, CSI n°2 (minute 7) https://www.youtube.com/watch?v=2_lTZJiwQIU

Réf 4 : « quand la psychose fait dérailler le monde »

Renaud GIRARD&Jean Loup BONAMY collection tracts Chez GALLIMARD

Réf 5 : Pavan CSI n°7 (minute 5) https://crowdbunker.com/v/tKCowYXHbaS1P

Réf 6 :Docteur Hector CARVALLO : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-avec-le-pr-hector-carvallo-argentine-les-regions-qui

Ref 7 : Docteur Pierre KORY :https://www.sante-corps-esprit.com/ecoutez-ce-que-dit-lun-des-plus-grands-medecins-au-monde

Ref 8: Jean Dominique Michel. Amendes des labos (minute 41) :https://www.youtube.com/watch?v=WUkcsSnVzl0 .

Réf 9: Michel DE LORGERIL : Les vaccins à l'ère de la COVID 19 Éd KIWI

Réf 10 : Surya ARBI, CSI n° 6, pharmacovigilance (minute 39) : https://odysee.com/@DiscreetL:6/R%C3%A9union-publique-n%C2%B06-du-Conseil-scientifique-ind%C3%A9pendant-(CSI)-du-20_05_2021:b

Réf 11 : Frédéric BADEL CSI n°7, (minute 33) https://crowdbunker.com/v/tKCowYXHbaS1P

 

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