COVID 19 : RADIO PARIS MENT...

Bonjour à vous,

 

 

 

Ce matin, il fait beau à Marbois. En attendant un groupe qui vient au gîte pour faire un stage de massage ayurvédique, je viens de faire le pain dans ma nouvelle cuisine ensoleillée. J’ai toujours fait mon pain, je le fais avec un mélange à parts égales de farine de blé complet et de petit Épeautre que j’achète à la Biocoop. Un vrai régal !

Cette fois, j’ai l’intention de vous parler de nos médias en temps de pandémie. J’entends par médias l’ensemble de la presse écrite, des chaînes de radio et de télévision et des réseaux sociaux.

 

Avant de parler des médias, je voudrai rectifier une erreur que j’ai faite dans ma dernière lettre : la surmortalité de 2020 par rapport à 2019 n’est pas de 46 000 mais de 54 692 morts. L’INSEE a rajouté mi-janvier 8 592 morts sans trop justifier pourquoi. Peu importe, cela ne change pas mes conclusions :

- Le nombre de morts COVID 19 est très largement surestimé (au moins 60 % des gens ne sont pas morts de la Covid 19)

- En France, la mortalité de la COVID 19 est celle d’une très mauvaise grippe.

 

 

LES MÉDIAS C’EST QUI ?

 

 

La quasi-totalité de la presse écrite et des chaînes de radio et de télévision que nous appellerons « médias de grande écoute » est détenue par une poignée de grands capitalistes (LVMH, François Pinault, Serge Dassault, Patrick Drahi, Arnaud Lagardère, Martin Bouygues, Vincent Bolloré...). Ces médias, privés pour la plupart, reçoivent des subventions de l’État : en 2020, 2 ans avant les élections présidentielles, Emmanuel Macron a décidé de leur attribuer (avec notre argent), une dotation spéciale de 2 milliards d’euros, dont 666 millions à la presse écrite.

Selon Médiapart du 13/02/2018, les milliardaires de la presse sont gavés d’aides publiques. Les journaux possédés par Bernard Arnaud, première fortune de France, ont touché en 2016, 12,3 millions d’Euros soit 15 % des aides à la presse.

En outre quelques-uns d’entre eux (Le Monde, Libération, Le Figaro, Paris Match...) sont financés par les GAFA (Google, Amazon…) pour décoder les informations « déviantes » sur le Net. Enfin Bill GATES attribue directement des subventions aux médias de la presse écrite (en France : Le Monde et l’AFP dont les communiqués sont repris par l’ensemble des médias de langue française).

 

Les médias « de grande écoute » sont donc au service des puissances de l’argent et de nos dirigeants politiques.

 

Ne pensez pas que les journalistes de ces médias ont carte blanche, leur situation est bien trop précaire. Pour reprendre une citation lue quelque part sur le Net :

« Il y a les journalistes qui disent ce qu’ils pensent et ceux qui ont un travail »

 

Il y a 20 ans, quand j’étais chef d’entreprise, je me demandais pourquoi les grands capitaines d’industrie investissaient dans ces médias qui ne rapportent « pas un clou ». J’avais la naïveté de penser qu’ils agissaient en mécènes pour sauver nos grands journaux d’information. J’ai compris maintenant que nos dirigeants politiques de droite, de gauche ou du centre ont été choisis bien avant nous par les puissances de l’argent. Il est en effet impossible de gagner une élection si vous ne faites pas la première page des journaux.

 

          En réalité, nous élisons des gens qui travaillent pour d’autres

 

Sur la pandémie, ces médias relayent le discours officiel en excluant tout discours contradictoire. Ils sont aux ordres, diffusent la peur, organisent la propagande, tiennent des discours mensongers, vilipendent les « déviants » et n’organisent plus aucun débat contradictoire. Par ailleurs, sur des sujets autres que la pandémie, ces médias diffusent souvent une information de qualité. La propagande qu’ils assène sur la crise est d’autant plus redoutable !

 

À côté des médias de grande écoute une information plurielle se trouve sur les réseaux sociaux. Ils constituent un espace de liberté où chacun peut s’exprimer. On y trouve le pire et le meilleur. Heureusement, un esprit normalement constitué, peut facilement extraire le bon grain de l’ivraie. Malheureusement, la censure se fait de plus en plus violente… elle se traduit par la suppression de tout contenu contraire à la doxa officielle. Peu importe la qualité de l’auteur, il peut être grand professeur, prix Nobel, grand scientifique… il est immédiatement censuré si son discours n’est pas conforme. Par exemple s’il prononce le nom du médicament utilisé à Marseille ou s’il émet des objections argumentées sur les vaccins.

 

 

Quelques exemples :

 

LES MÉDIAS DE LA PEUR

 

Dès le début de la pandémie, le matraquage médiatique propageant la peur sur nos antennes m’avait profondément choqué. L’attitude de nos dirigeants et de nos médias m’avait parue folle et irresponsable. Un an après, ce matraquage continue. N’ayant pas assez de morts et de malades dans les hôpitaux, on a trouvé le nombre de cas COVID. Avant-hier c’était la Moselle, hier le pays niçois et aujourd’hui Dunkerque et demain... on verra bien !

                                Pourquoi tant de peur ?

Il faut comprendre que certains ont intérêt à instrumenter la peur, en particulier l’industrie pharmaceutique. Cela est parfaitement décrit dans l’excellente vidéo du réalisateur belge Bernard CRUTZEN ceci n’est pas un complot. Elle est très factuelle et raconte entre autres :

 

- le discours tenu en 2019 par Marc Van RAST (épidémiologiste, consultant au service de l’industrie pharmaceutique), à une assemblée de lobbyistes de la même industrie. Il fait part de l’expérience qu’il a acquise en 2009, lors de la grippe H1N1. Il était alors conseiller du gouvernement belge et payé par GSK (le fabricant du vaccin). Il parle de la conduite à tenir pour mettre les médias dans sa poche afin qu’ils apeurent les populations. Le discours est édifiant :

« vous devez contacter tous les médias dès le départ, répondre à leurs appels téléphoniques, si vous êtes présents, ils n’iront pas chercher ailleurs l’information... parler de décès est très important... ».

Cette campagne de peur a fait vendre en Belgique (comme en Europe) des millions de doses de vaccin... inutiles ! La grippe H1N1 n’a fait aucun mort. Par contre les millions de doses vaccin administrées en Europe ont généré quelques années plus tard, des milliers de cas de narcolepsie !

Marc Van RAST est toujours conseiller du gouvernement belge en 2020 pour la crise de la COVID 19.

Toujours dans cette vidéo on peut voir :

- la mise en scène d’un des journaux télévisés de grande écoute qui diffuse en arrière-plan des images de 2 jeunes patients COVID, hospitalisés sur des brancards. Ces images ont été achetées à une société de communication, les patients sont des figurants, ils ont été choisis jeunes pour bien montrer que la COVID 19 touche les jeunes.

- l’annonce par les autorités belges de la mort d’un enfant de 3 ans causée par la COVID 19. Information instantanément reprise en boucle par tous le médias. Les jours suivants, le père de l’enfant oppose un démenti formel : son enfant souffrait de nombreuses pathologies, il n’est certainement pas mort de la COVID 19. Trop tard ! L’erreur ne sera pas rectifiée.

 

Le même discours de peur avait été tenu en 2009 lors de la grippe H1N1, le lien suivant montre comment l’AFP (Agence France Presse) avait tenté d’effrayer les populations en émettant des communiqués alarmistes sur une maladie qui ne faisait aucun mort.

 

 

LES MÉDIAS DU MENSONGE

 

Le mensonge le plus emblématique est : « il n’y a pas de traitements ». J’en ai maintes fois parlé dans mes précédentes lettres, je n’y reviendrai pas. La parole n’est jamais donnée aux médecins de terrain qui soignent précocement avec succès.

 

Mais le mensonge dont je voudrais parler un peu plus est le mensonge par omission : l’information qui ne va pas dans le sens de la doxa officielle n’est pas relayée.

L’exemple le plus célèbre est celui du traitement administré à Marseille. Malgré la méta-analyse de 207 expériences qui montre que ce médicament est efficace à 66 % en début de traitement, il y a un très grand nombre de personnes qui n’en ont jamais entendu parler et il existe encore des médecins de plateau (toujours les mêmes) pour contester les effets positifs de ce médicament.

On ne parle que des expériences qui ne marchent pas, jamais de celles qui marchent.

Mieux, la principale étude (RECOVERY) sur laquelle s’appuyait les détracteurs de ce traitement et nos gouvernants pour justifier les mesures prises a été disqualifiée par une étude parue récemment dans le « New-England Journal of Medecine » : les doses du médicament à tester étaient létales. En avez-vous entendu parler ? Probablement pas.

Une Mise en demeure des agences sanitaires, des sociétés savantes et de la direction de publication des médias de grande écoute a été faite parl'association Bonsens pour tenir compte des nouvelles informations (lettre du NEJM et Meta-analyse récemment publiée) qui avalisent le surdosage de l’étude RECOVERY.

 

Un autre mensonge par omission concerne les vaccins. Un certain nombre d’informations sur les réseaux sociaux montrent que probablement, les résultats attendus sont loin de ceux escomptés et que le nombre de décès enregistrés suite à la campagne vaccinale serait plus important que celui dû à la COVID 19. Voir l’article de Xavier Bazin et celui de Gérard Maudrux.

Savez-vous que Camille Houx, 108 ans, doyen de Bretagne et Madeleine Fourrier, 110 ans, doyenne se Saône et Loire sont décédés 5 jours après l’administration du vaccin ?

 

 

LES MÉDIAS DU DÉNIGREMENT

 

Toute personne tenant des propos différents de ceux prônés par la doxa officielle est taxée de « rassurriste », « complotiste », « covidoseptique », « Antivax »... Les médias qui donnent la parole à ceux que l’on n’entend pas sur les médias de grande écoute sont des médias complotistes.

On ne cherche pas à argumenter, on dénigre :

Un collectif de 30 000 médecins s’organise pour soigner les malades en phase précoce ?

Pas un mot dans les médias officiels et voici ce que disent les décodeurs de libération :

 

« … cet appel qui promeut un protocole thérapeutique de traitement du Covid-19 avant hospitalisation qui relève du cocktail de perlimpinpin à base de vitamine D, de zinc, d’ivermectine ou encore d’acupuncture. Sans oublier l’hydroxychloroquine, jamais loin de leurs discours.

 

           Les covidoseptiques veulent faire avaler leurs pilules

 

Les contours trumpistes de cette galaxie, aussi habile dans sa communication que peu soucieuse de faits et de vérité – «il n’y aura pas de deuxième vague », avait prédit un de ces visionnaires du dimanche –, commencent à être connus. Mais cette dernière initiative inquiète d’autant plus qu’elle s’appuie sur un collectif appelé Coordination Santé Libre qui réunit des scientifiques, des médecins et des personnels de santé – diplôme option vaudou ? – qui s’abritent derrière la sacro-sainte liberté de prescription. Il reste difficile de mesurer l’influence de ces apprentis sorciers en blouse blanche sur les patients. Ils prétendent toucher près de 30 % des généralistes. C’est probablement beaucoup moins. En tout cas, la Haute Autorité de santé comme l’Agence nationale de sécurité du médicament s’inquiètent de l’existence de ce protocole de soins pseudo scientifique. Inquiétude d’autant plus légitime que sa promotion risque très rapidement de devenir virale. »

Que l’on puisse faire une telle réponse à un collectif de 30 000 médecins (la liste ICI) qui édite un protocole issu de leur expérience du terrain et des expériences scientifiques parues dans le monde entier est une insulte à l’intelligence !

Libération, comme la plupart des autres médias officiels, est tombé dans le caniveau.

 

 

LES MÉDIAS DE LA MANIPULATION

 

La manipulation est permanente :

« On n’échappera pas au confinement - les élus locaux le réclament - Il n’y aura pas de confinement »

Le passeport vaccinal, on en parle pendant 10 mn et on termine : « cela n’est plus d’actualité ». Et puis on en reparle : Emmanuel MACRON fait un sondage, il veut connaître notre avis…

 

La manipulation sur le vaccin est un modèle du genre :

 

Le président nous promet que la vaccination n’est pas obligatoire mais le 4 mars sur France-Inter : « à la fin de l’été tous les européens seront vaccinés. Priorité est donnée à la vaccination de tous les soignants. Doit-on la rendre obligatoire pour eux ? réponse ce soir, Jean Castex… »

 

Au lieu d’organiser un vrai débat sur les avantages et les risques du vaccin selon l’âge et les facteurs de risques de chacun on joue avec :

 

- l’exaspération des personnes : « qu’on en finisse ! »

Tout le monde est exaspéré par les mesures drastiques imposées par les privations de liberté alors on sous-entend que le vaccin accélérera le retour à la normale. Aucun ministre ne s’engage (et pour cause, la vaccination n’empêche pas d’être contagieux) mais on trouve toujours un chef d’entreprise, un restaurateur ou un maire pour dire : « vivement que tout le monde soit vacciné pour que l’on en finisse ! »

 

- l’effet mouton : « si tout le monde le fait, pourquoi pas moi »

On montre un grand nombre de personnes qui se font vacciner un peu partout dans le monde.

 

- nos émotions :

         - la peur : « vous pourriez mourir »

         - la solidarité : « faites-le pour protéger les plus fragiles » (personne ne dit et surtout  pas le fabriquant du vaccin, qu’une personne vaccinée ne sera pas contagieuse !)

         - la culpabilité : « c’est égoïste de ne pas se faire vacciner »

         - l’espoir : « c’est le seul moyen d’en finir avec cette crise. » (On a oublié

           les variants !)

         - le stress : « il faut agir rapidement avant qu’il ne soit tard »

 

 

 

QUELQUES INFORMATIONS

 

 

- Quelques membres de notre Conseil Scientifique dont le professeur Delfraissy changent d’avis sur la stratégie de lutte contre le Corona virus. Dans une lettre publiée dans « the Lancet », ils écrivent :

« ...la fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent réduisant l'efficacité de la vaccination à court et moyen terme.

Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches basées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire (stop-start) comme principale réponse à la pandémie... »

Belle progression, il ne manque plus que les traitements précoces ! (indépendants des variants eux !).

 

- En Espagne, bars, restaurants et cinémas sont réouverts (République de Pyrénées le 7/1/21). En Italie, restaurants, bars et musées sont ouverts dans les 3/4 du territoire depuis le 1/3/21 (Ouest France)

 

- La pandémie est un "prétexte" utilisé par certains États pour réprimer et abolir les libertés, déplore l'ONU sans citer les États

 

- La France est classée au rang des démocraties défaillantes par « the Economist »

 

- Le ministère de la santé s’intéresse enfin aux traitements précoces :

Il a émis une ATU (Autorisation Temporaire d’utilisation) pour le Bamlanivilab à base d’anticorps monoclonaux (utilisés pour soigner Trump). Les tests de ce médicament réalisés par l’industriel (Lilly) montrent une efficacité plus que douteuse avec 2,5 % d’effets secondaires. Petite précision : ce médicament s’administre lentement en intraveineuse pendant 1 heure au prix de 1 000 € l’injection. Voir l’analyse critique de ce médicament ici. Nouveau Remdesivir ?

 

- Le ministère de la santé, après une multitude de relances effectuées par Maître Tesseidre, a promis qu’il donnerait fin mars une réponse à la demande d’ATU pour l’ivermectine. Rappelons que ce vieux médicament ne présente aucune toxicité et qu’il a fait l’objet de 44 études dont 23 randomisées. Elles sont toutes positives et montrent une efficacité de 82 % en phase précoce et de 89 % en prophylaxie (prévention). Il est délivré sur ordonnance, s’administre par voie orale et coûte quelques euros.

 

- Le ministère de la santé refuse à l’institut Pasteur de Lille d’accélérer les procédures d’homologation d’un médicament Anti-Covid très prometteur (Le chlofocol). Point de vue de la startup qui travaille avec l’institut Pasteur : « nous travaillons à partir du repositionnement d’un médicament dont la balance bénéfices-risques est bien connue. Selon nous, elle nous permettrait d’accéder directement à une étude clinique de phase 3 ». Pas pour l’autorité ministérielle !

 

- Une tribune de l’israélien Barry Shaw à propos de l’alternative thérapeutique au vaccin et de la liberté de prescrire en Israël est à lire. On a l’impression d’être en France.

 

- De simples citoyens s’investissent très fort pour suivre et commenter la pandémie :

                  - rapport de Sébastien (118 pages)

                  - rapport de Simon (244 pages)

Leur travail est impressionnant avec des graphiques intéressants dans le rapport de Simon et un très grand nombre de sources dans les 2 rapports.

Vous trouverez dans le rapport de Sébastien page 70, une liste de 18 médias qui s’évertuent à lire l’info eux-mêmes et à l’analyser dont Sud Radio, Mediapart, France soir…et les liens vers les collectifs Reinfocovid, Bonsens, Laissons les Médecins Prescrire, Bas les Masques (qui ne sont pas des anti-masque)…

 

 

UNE ACTION QUE VOUS POUVEZ FAIRE :

 

Signer la Pétition de soutien à France SOIR censuré par YouTube et qui reçoit en ce moment de très fortes pressions d’une partie de la presse « bien-pensante » et du gouvernement qui menace de lui retirer son agrément.

 

 

 

 

CONCLUSION

 

 

Un an après le début de la pandémie nous savons que, en France :

- la COVID 19, mal soignée, n’a pas fait plus de morts qu’une mauvaise grippe ;

- la moitié des personnes décédées avait plus de 85 ans ;

- aucune surmortalité n’est apparue chez les personnes de moins de 60 ans.

 

Si, pour cette maladie, on nous avait dit que :

  • la moitié (?) de la population serait encore, en mars 2021, sous l’emprise d’une peur irraisonnée ;

  • cette maladie ne se soignerait sérieusement qu’à l’hôpital et que le nombre de lits d’hospitalisation n’aurait pas augmenté 1 an après le début de la pandémie ;

  • nos médecins ne seraient pas mis à contribution pour soigner cette maladie ;

  • on ne ferait pas la promotion de certains médicaments susceptibles de supprimer les formes graves de la maladie (vitamine D, Zinc…) ;

  • on interdirait aux médecins de prescrire un médicament prometteur et non dangereux qui s’est depuis révélé être efficace à 65 % en phase précoce suite à 215 essais réalisés par 3 300 scientifiques sur 187 000 patients ;

  • on monterait de toute pièces de fausses expériences (Lancet gate) pour prouver que ce médicament est toxique et on ne poursuivrait pas les auteurs de l’étude et ses commanditaires ;

  • on aurait toujours pas d’ATU (Autorisation temporaire d’utilisation) pour un médicament (Ivermectine) qui s’est révélé être efficace à 82 % en phase précoce et à 89 % en prophylaxie suite à 44 études réalisées par 356 scientifiques sur 15 420 patients ;

  • on aurait délivré 2 ATU : une pour le Remdesivir (à 40 000 euros le traitement) qui s’est révélé inefficace et néphrotoxique et une autre, récente, pour le Bamlanivilab (voir ci-dessus) dont l’efficacité apparaît plus que douteuse ;

  • on nous aurait tous confinés, même les bien portants et qu’un an après, on nous menacerait encore de le faire alors que le confinement est très loin d’avoir prouvé son efficacité ;

  • on imposerait un couvre-feu à 18h dans tout le pays (même en Ariège !) ;

  • on nous aurait obligé à porter des masques en plein air et contraints nos enfants de 6 ans à faire la même chose en faisant abstraction des dégâts collatéraux ;

  • on nous autoriserait à prendre le métro, à aller dans les centres commerciaux et on nous interdirait d’aller dans les musées ;

  • on aurait arrêté l’économie, ruiné les petits entrepreneurs, provoqué un chômage de masse et endetté considérablement le pays ;

  • on aurait remplacé nos institutions démocratiques (Assemblée nationale, Sénat, Conseil des ministres) par un conseil scientifique (farci de conflits d’intérêts) et un conseil de défense dont on ne connaît pas les membres et qui travaille sans émettre de compte rendu de séance ;

  • nos dirigeants prendraient des décisions sur la base de test PCR mal calibrés générant 60 % (?) de faux positifs et incapables de révéler les quelques cas graves (~1 %) dont il faudrait s’occuper ;

  • on voudrait vacciner toute la population (y compris les jeunes en bonne santé qui ne risquent rien) avec des vaccins non testés et des nouveaux vaccins dont on ne connaît pas les effets à moyen et long terme ;

  • on voudrait instituer un passeport vaccinal alors que les personnes vaccinées restent contagieuses (surtout avec les nouveaux variants)…

 

 

                                    Et J’EN OUBLIE...

 

Donc si on nous avait dit tout cela, personne ne l’aurait cru ! Qui peut faire avaler de telles couleuvres à la population ?

 

                                          LES MÉDIAS L’ONT FAIT

 

Je vous avais dit que cette crise révélerait les énormes dysfonctionnements de notre société. Le fonctionnement des médias en est un, les médias de grande écoute sont les serviteurs zélés de la pensée unique. Ils nous maintiennent dans la peur et l’ignorance. En discutant avec mes clients du gîte, je suis stupéfait de constater leur ignorance. Ils ne sont pas informés. Ils connaissent Raoult (le charlatan) et son médicament, ils ne connaissent pas les noms de Perrone, Fouché, Toubiana, Toussaint … et les remèdes Vitamine D, Zinc, Azythromicine, Ivermectine…

Par contre, dès qu’on leur explique, ils comprennent tout de suite. Car l’Homme est ainsi fait : dès qu’il a l’information, il fait preuve d’intelligence.

Nous sommes soumis à une pression médiatique sans précédent qui utilise la menace du virus, le mensonge, la désinformation, le dénigrement des « déviants » et les techniques de propagande pour nous maintenir dans la peur et l’ignorance. Certes la soumission des médias au pouvoir politique n’est pas nouvelle, du temps de Giscard et de ses prédécesseurs il fallait avoir l’aval du secrétariat de l’Élysée pour diffuser une information sensible sur les chaînes nationales mais aujourd’hui l’État et les puissances de l’argent sont unis pour museler quasiment toute la presse y compris la presse écrite.

Cette désinformation a fait et continue de faire beaucoup de morts. Si nous n’y prenons pas garde, elle nous mènera tout droit d’une dictature sanitaire vers un régime totalitaire à la chinoise.

Comment résister ? C’est très simple :

 

            Regardez moins votre télé et cherchez l’information ailleurs

 

Vous pouvez par exemple aller sur le site de Bonsens consulter les communiqués de presse. C’est gratuit. Si vous choisissez d’adhérer, vous les recevrez chaque semaine dans votre boîte mail. Il existe bien sûr d’autres associations que vous trouverez sans peine si vous commencez à chercher.

 

Je me réjouis de voir que chaque jour, de plus en plus de citoyens de tous bords le font, de plus en plus de collectifs proposent des actions intelligentes et non violentes et que même certains médias de grande écoute commencent à relater des informations « déviantes » : pas de flambée des cas en Martinique après le carnaval (CNEWS).

 

S’informer est plus que jamais nécessaire, C’est efficace car il est impossible de mener par le bout du nez des citoyens rassurés et éclairés. De plus, cerise sur le gâteau c’est une action de résistance sans risque d’attraper une amende de 135€.

 

Bon, j’arrête, j’ai assez travaillé sur la COVD, je vais aller me changer les idées en allant réfléchir sur le budget de la commune. En mars, avril c’est la saison !

 

 

                                                                             Bien à vous,

 

 

                                                                             Christian TORRELL

 

                                                                              le 7 mars 2021

 

 

PS : pour ceux à qui le titre de la lettre ne dirait rien :

 

Pendant la dernière guerre, sous l’occupation allemande, une petite chanson circulait :

 

                  «  Radio Paris ment, Radio Paris ment,

                         Radio Paris est allemand »

 

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